liz wants to read Any Other City by Hazel Jane Plante

Any Other City by Hazel Jane Plante
Any Other City is a two-sided fictional memoir by Tracy St. Cyr, who helms the beloved indie rock band Static …
gender euphoria for all 🏳️⚧️✨️
транс-персоночка, лесбиян_ка (они), работаю в библиотеке bibliothécaire gouin-e & trans (ael/iel, accords inclusifs) trans dyke librarian (they/them) ☮️🌿🌊
mastodon: tender_tools@eldritch.cafe 📻
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Any Other City is a two-sided fictional memoir by Tracy St. Cyr, who helms the beloved indie rock band Static …
Tamos, jeune artiste sensible, emo et scorpion, mène une vie paisible à Bruxelles City, accompagné·e de ses potes, de son …
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Je pense qu'à ça, vieillir avec vous. Vieillir tous ensemble ici, avec les fous, les cons, les trans, les chats …
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Pourquoi les futurs de la science-fiction sont-ils souvent coincés dans les années soixante-dix ? Comment dépasser une vision monolithique, masculine, …
Là où le fascisme estime que seules certaines vies sont dignes d’être vécues, la pensée queer et féministe nous enseigne …
Là où le fascisme estime que seules certaines vies sont dignes d’être vécues, la pensée queer et féministe nous enseigne …
I didn't have to depend on a health-care system that would leave me waiting potentially for years. Even though I am extremely lucky, this narrative where trans people have to feel "lucky" for these crumbs - that we fought hard for, and still fight for - is perverse and manipulative. Here is the thing: I almost did not make it, the now I finally have I did not see, and all I knew was permanent emptiness, a mystery I would never solve. Incessant, without language, a depth of despaire. Shamefull, with all that I had - what dreams are made of. I did nothing but sink, dread blanketing me. I couldn't see what was in front of me. I should not have to grovel with gratitude. Am I grateful? Fuck, yeah! But everyone should have access to gender-affirming and health care. It should just be.
— Pageboy by Elliot Page (Page 256)
Elliot Page speaking truth 💖
Paloma, Céleste, Sierra, Apolline et Chélonia sont « les filles zarbies, les solitaires, les rejetées du lycée ». Elles traînent …
Paloma, Céleste, Sierra, Apolline et Chélonia sont « les filles zarbies, les solitaires, les rejetées du lycée ». Elles traînent …
Deux femmes, Béa et Érica, tombent amoureuses à la veille de l'occupation des Pays-Bas par les nazis durant la seconde guerre mondiale. Si elles décident presque immédiatement de s'installer ensemble, se dire et vivre leurs sentiments suppose encore une autre prise de conscience, celle de l'existence d'une homophobie sociale et intériorisée que seule une des deux héroïnes parviendra véritablement à dépasser, dans des circonstances rendues tragiques par le contexte de la montée du fascisme. Rédigé comme un pulp novel à l'américaine, ce roman de 1956 étonne par son lyrisme et la finesse des affects et des relations humaines qu'il décrit - on pense à Annemarie Schwarzenbach, Erika Mann, Irmgard Keun... Il constitue aussi un document précieux sur l'existence lesbienne dans différentes classes sociales et les outils de sa répression dans l'Europe nazie.
NB: Érica, l'une des deux protagonistes, est décrite comme toujours habillée de "chemises d'homme" et passe souvent pour …
Deux femmes, Béa et Érica, tombent amoureuses à la veille de l'occupation des Pays-Bas par les nazis durant la seconde guerre mondiale. Si elles décident presque immédiatement de s'installer ensemble, se dire et vivre leurs sentiments suppose encore une autre prise de conscience, celle de l'existence d'une homophobie sociale et intériorisée que seule une des deux héroïnes parviendra véritablement à dépasser, dans des circonstances rendues tragiques par le contexte de la montée du fascisme. Rédigé comme un pulp novel à l'américaine, ce roman de 1956 étonne par son lyrisme et la finesse des affects et des relations humaines qu'il décrit - on pense à Annemarie Schwarzenbach, Erika Mann, Irmgard Keun... Il constitue aussi un document précieux sur l'existence lesbienne dans différentes classes sociales et les outils de sa répression dans l'Europe nazie.
NB: Érica, l'une des deux protagonistes, est décrite comme toujours habillée de "chemises d'homme" et passe souvent pour un jeune garçon - pourquoi avoir choisi cette couverture 😭
Été 1939 à Amsterdam, par un heureux hasard, la sage Béa rencontre la fougueuse Érica. S’ensuit une colocation entre les …